« Monsieur le Président et cher Frère,
La commémoration de la fête nationale de votre pays, le 11 décembre 2014, m'offre l'heureuse opportunité de vous adresser mes vives et chaleureuses félicitations.
J'y associe mes souhaits de paix, de concorde et de progrès pour la nation burkinabé.
Veuillez agréer, Monsieur le Président et cher Frère, les assurances de ma très haute considération. / »
Paul BIYA