Monsieur le Président et cher frère

C’est avec une réelle émotion que j'ai appris les attentats dont N’Djamena a été victime et qui ont causé de nombreuses pertes en vies humaines. 

Je condamne avec force cet acte odieux des adeptes de la violence, de la terreur et de la tuerie gratuites, et vous exprime ainsi qu'au peuple tchadien toute ma solidarité. 

En cette circonstance tragique, je voudrais m'associer à votre deuil et vous adresser ainsi qu'aux familles et à la nation tchadienne si durement frappées, mes sincères condoléances. J’y associe la compassion émue du peuple camerounais. 

Veuillez agréer, Monsieur le Président et cher frère, les assurances renouvelées de ma très haute considération.- 

 

(é) Paul BIYA