« Monsieur le Président et cher Frère,
La célébration de la fête nationale de votre pays, le 17 août 2015, m'offre l'agréable opportunité de vous adresser mes vives et chaleureuses félicitations.
J'y associe mes vœux de paix, de progrès et de bonheur pour le peuple gabonais frère.
Je saisis cette solennelle circonstance pour vous réitérer ma volonté de continuer d'œuvrer, de concert avec vous, comme par le passé au renforcement des excellentes relations d'amitié, de fraternité et de coopération qui unissent nos deux pays et nos peuples.
Veuillez agréer, Monsieur le Président et cher Frère, les assurances renouvelées de ma très haute et fraternelle considération. / »
Paul BIYA