Monsieur le Président et cher frère,
C’est avec émotion que j'ai appris le décès de plusieurs jeunes guinéens, suite à un mouvement de foule provoqué lors d'un concert public organisé à Taouyah près de Conakry.
Je vous adresse en cette tragique circonstance, à vous-même, aux familles éplorées et à vos compatriotes, mes sincères condoléances.
J’y associe la compassion fraternelle du peuple camerounais.
Veuillez agréer, Monsieur le Président et cher frère, les assurances de ma très haute considération.-
(é) Paul BIYA