Retour du couple présidentiel au bercail : Paul et Chantal Biya chaleureusement accueillis à Yaoundé
Au terme d’un séjour privé en Europe, le Président de la République et son épouse ont regagné Yaoundé ce vendredi 27 mars 2015 en fin d’après-midi. Les populations de la cité capitale et de ses enivrons ont réservé un accueil mémorable au couple présidentiel.
L’avion ayant à son bord le Chef de l’Etat et la Première Dame a touché le tarmac de l’Aéroport International de Yaoundé-Nsimalen à 16h48. Au bas de la passerelle pour accueillir le couple présidentiel : le Président du Sénat, Marcel Niat Njifenji; le Président de l'Assemblée Nationale, le Très Honorable Cavaye Yeguié Djibril; le Premier Ministre Chef du Gouvernement, Philemon Yang; le Secrétaire Général de la Présidence de la République, Ferdinand Ngoh Ngoh. La deuxième partie de ce comité d’accueil était composée d’autres personnalités qui attendaient au niveau du perron du pavillon présidentiel.
Une fois installé au Salon d’honneur, le Chef de l’Etat a accordé de brèves audiences aux quatre personnalités sus-citées, qui l’ont accueilli au bas de la passerelle.
Pendant ce temps, dans la salle attenante, Madame Chantal BIYA feuilletait son carnet de voyage avec les épouses des proches collaborateurs du Chef de l’Etat.
A l’esplanade arrière du Pavillon d’honneur, s’est amassée une foule composée des militants du Rassemblement Démocratique du Peuple Camerounais(RDPC), des groupes de danse, des étudiants de l’Institut National de la Jeunesse et des Sports, ainsi que ceux du Centre de l’Excellence Technologique Paul Biya (IAI-Cameroun), tous venus ovationner le Président de la République et Madame Chantal BIYA.
Sur le chemin qui mène au Palais de l’Unité, le Couple présidentiel a été chaleureusement ovationné par les populations installées le long de l’itinéraire.
L’entrée du Palais d’Etoudi a connu également une effervescence particulière, avec d’autres groupes de danse, soutenus par une fanfare. Très sensibles à cet accueil, le Chef de l’Etat et son Epouse, très souriants, ont répondu chaque fois par de grands gestes de la main.